Élargissons nos horizons

Easy Jet

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L’idée

En voyageant à l’étranger, il y a souvent un avant et un après.

On arrive avec tout un tas d’idées reçues sur le pays de destination et on en repart changé : des rencontres nous ont marquées, des lieux nous ont charmés…

C’est justement ce que permet easyJet pour quelques dizaines d’euros : challenger notre vision du monde.

La campagne

Crafting des futures affiches

Film 1 : Ibiza

Plan serré sur une jeune fille au téléphone.

« Ouais, c’est exactement comme je t’avais dit, tu sais. Des boîtes de nuit de partout, des millionnaires qui font bronzette sur leur yacht… Limite, y’a du champagne qui coule du robinet et des paillettes qui tombent du ciel. Enfin tu vois le délire ! Par contre, niveau nature, c’est pas la fête. Les plages sont tellement bondées qu’on se croirait dans le métro en heure de pointe. »

La caméra s’éloigne progressivement de la jeune fille qui parle au téléphone. Derrière elle, on aperçoit une plage sauvage et déserte qui contredit ses propos. Sa voix devient de plus en plus théâtrale.

« Oui, oui, tu me manques aussi. D’ailleurs, j’attends qu’une chose : c’est de rentrer à la maison. Bon, je te laisse mon amour. J’vais pleurer un bon coup dans ma chambre, ça va me faire du bien. »

La caméra continue de s’éloigner de la jeune fille au téléphone pour laisser place à un paysage grandiose.

Texte en surimpression : EasyJet, partez avec des clichés, revenez avec des souvenirs

Film 2 : Varsovie

Plan serré sur un jeune homme au téléphone devant la terrasse ensoleillée d’un bar.

« Ouais, c’est exactement comme je pensais. C’est vrai, la ville est belle, hein, mais qu’est-ce qu’il fait froid ! On se croirait en Sibérie. Et y’a pas que le climat qui est froid, y’a les gens aussi. Depuis que j’suis arrivé, j’ai pas vu un sourire, pas entendu un rire. J’te jure, j’sais même pas si les Polonais ont des dents. »

Un groupe de Polonais sort du bar et fait de grands signes enthousiastes au jeune homme au téléphone. Visiblement, ils se connaissent. Le jeune homme au téléphone leur explique avec des gestes qu’il arrive. Il reprend sa conversation téléphonique avec une voix théâtrale.

« Oui, oui, tu me manques aussi. D’ailleurs, j’attends qu’une chose, c’est de rentrer à la maison. Bon, je dois te laisser. Je vais pleurer un bon coup dans ma chambre et ça ira mieux. Allez, bisous Mamie. »

Au moment où le jeune homme raccroche, son visage change subitement d’expression. Il sèche ses fausses larmes, sourit et rejoint ses amis dans le bar pour trinquer.

Texte en surimpression : EasyJet, partez avec des clichés, revenez avec des souvenirs

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